L’association de défense des consommateurs et des locataires INDECOSA-CGT 65 organise une permanence d’aide à la déclaration de revenus en commun avec le Syndicat CGT des Finances
Publiques des Hautes-Pyrénées.
Cette année, elle tient à aider notamment les locataires de l’OPH 65. C’est pourquoi, une information sera remise dans leur boîte à lettre dans les principales résidences.
Cette permanence aura lieu le Mardi 17 mai 2022 de 9h30 à 12h et 14h30 à 17h, dans son bureau à la Bourse du Travail à TARBES.
Ses membres répondront aux questions et aideront à compléter les déclarations. Ils seront aidés
par des spécialistes en fiscalité personnelle.
Pour les contacter :
Téléphone 05 62 37 65 05
Mail : indecosacgt65@laposte.net
https://www.facebook.com/IndecosaCgt65
Depuis plusieurs dizaines d’années, les musulmans vivant en France sont victimes de manifestations de racisme, qu’elles concernent la pratique de
leur foi, leur apparence ou leur origine.
Assimilés au terrorisme, suspectés de ne pas adhérer aux principes de la
République, les musulmans font l’objet de discriminations et de
stigmatisations constantes.
Les discours de haine se répandent partout y compris au sein des
responsables politiques de toute obédience qui n’hésitent plus à les
attiser en instrumentalisant les principes de la République.
Ce qui s’est produit à Tarbes le 02 septembre 2020, tags à caractère
raciste et islamophobes sur les murs de la Grande Mosquée Omar Ibn Al
Khattab, en est la conséquence et doit être dénoncé pour ce qu’il
est : un acte raciste commis contre un édifice du culte et ses fidèles,
habitant.e.s de Tarbes et des Hautes-Pyrénées.
Alors que le port du masque sera obligatoire à compter de demain en entreprise, la CPME s’étonne de l’absence de texte apportant les précisions nécessaires pour la mise en œuvre de cette nouvelle obligation.
La Confédération des PME a notamment réclamé aux pouvoirs publics des dérogations portant sur des points précis tels que : l’utilisation de véhicules utilitaires ; les règles à respecter en espace partagé (« open space ») lorsqu’existent déjà des protections ; les consignes en milieu industriel avec une faible densité de personnel.
De même, se pose la question de la validité des guides métiers par rapport au nouveau protocole national qui devrait être publié prochainement. L’obligation systématique de port du masque dans les espaces clos pour les clients des restaurants, les salles de sport ou les métiers de la parole (conférenciers, présentateurs…) par exemple, risquerait, en pratique, de condamner économiquement ces activités.
Nous souhaitons faire entendre notre mécontentement suite à « l’avis
favorable » qu’a été donné hier soir à l’assemblée nationale durant la commission des affaires économiques pour acté l’accord du CETA.
Nous souhaitons maintenir la pression avant le vote définitif qui aura lieu le 17 juillet. Création d’un cimetière avec des tenues d’agriculteurs pendues devant la préfecture et sûr tous les ronds-points de la ville ainsi que distribution de tract et sensibilisation
des consommateurs seront organisée.
Nous terminerons par un barbecue géant devant la plus grosse zone commerciale : Le Méridien d’Ibos en fin de matinée.
La CPME s’insurge contre l’alibi écologique
Le concours Lépine de la mise en place de nouvelles taxes vient de reprendre. Ainsi lors de la seule journée d’hier, il a été annoncé l’augmentation de la fiscalité sur le gazole (TICPE) pour les professionnels du transport routier et la mise en place d’une nouvelle taxe sur le transport aérien. Ces mesures ne contribueront en rien à la transition énergétique. Par contre, elles auront un impact bien réel sur les entreprises dont elles alourdiront les coûts et sur les consommateurs qui paieront la note finale.
La transition énergétique a décidément bon dos lorsqu’on cherche de l’argent et que l’on se refuse à diminuer les dépenses publiques. Une augmentation de charges reste une mauvaise nouvelle pour les entreprises. L’alibi écologique n’y change rien et ne trompe personne lorsqu’il se traduit par une augmentation des prélèvements obligatoires. Ce qui est le cas aujourd’hui.
La France Insoumise (communiqué) Campagne pour l’élection européenne
Réunion publique à Tarbes, demain mardi 21 mai à 18h à la Bourse du
Travail sur le thème "Halte au libre-échange ! Pour le protectionnisme
solidaire".
Cette réunion sera animée par Marina Mesure, candidate aux européennes.
Elle abordera la question des traités de libre échange et du dumping
social et fiscal en Europe.
Marina Mesure, 29 ans, est passée par une école de commerce
international, ancienne salariée des Nations unies, spécialiste des
travailleurs détachés pour les plus grandes centrales syndicales… Elle
occupe la septième place (éligible) sur la liste de La France insoumise.
Des centaines de salariés travaillant dans les établissements du groupe Korian/Medica se sont mobilisés dans toute la France le 15 avril 2015.
Localement, les salariés de la Maison de Retraite Korian le Carmel de Tarbes ont participé à ce mouvement en se rassemblant devant l’établissement å 16h45 avec l’appui de l’Union Départementale CGT 65 et l’Union Syndicale Départementale Santé et Action Sociale CGT 65. Au préalable, les délégués du personnel CGT avaient déposé un préavis de grève en accord avec les salariés. Une pétition a été aussi signée par bon nombre de personnels mais aussi par des résidents et des familles.(SUITE)
L’accord signé par des syndicats minoritaires et le MEDEF entérine des reculs fondamentaux contre le droit du travail. Il institutionnalise la précarité par la généralisation des contrats à durée indéterminée intermittents et des contrats de projets, instaure la flexibilité en généralisant la mobilité, la flexibilité des horaires et des salaires.
C’est dans un contexte morose dû à la crise qui n’en finit pas de faire des ravages, que s’effectue donc cette rentrée 2012. Certes, nous n’avons pas dans notre département de gros plan social tel que SANOFI, ARCELOR MITAL, CARREFOUR et autres, il n’en reste pas moins que nous sommes nous aussi très fortement impactés et j’en veux pour preuve le nombre de salariés qui nous sollicite pour cause de licenciement. Les chiffres du chômage ne me démentiront pas puisque nous sommes pour le mois de juillet à 12% de demandeurs d’emploi. Aucun secteur d’activité n’y échappe : le bâtiment, le commerce avec une baisse du chiffre d’affaires de certains hyper- marchés et des rumeurs de sureffectif, l’hôtellerie restauration avec une météo qui n’a rien arrangé en début de saison, l’agro-alimentaire avec là aussi des rumeurs de licenciement à la SAPY à Bordères sur l’Echez : cette entreprise a été rachetée par le groupe MAÏSADOUR il y a peu et comprend 80 salariés. L’industrie, avec...