Réunion de quartier Gespe Courteboule  : Vitesse et incivilités

Courteboule a été calme avec des questions variées et pertinentes de la part des riverains.

Après la présentation des travaux effectués dans le quartier et les grands travaux effectués ou à venir sur la ville, le tour des questions des riverains est arrivé mais aussi les problèmes d’incivilités.

Un monsieur pose la question du trottoir qui borde la gendarmerie : avez-vous trouvé une solution pour les racines des arbres ? Le maire a répondu « depuis des années on réfléchi car il est hors de question d’abattre ces arbres qui ne sont pas malades, un projet est dessiné et les travaux s’effectueront en 2024 ».

Un autre riverain se plaint que les haies privées débordent sur la voie publique, le maire répond : « des efforts sont faits, nous envoyons un courrier aux propriétaires et s’ils ne s’en occupent pas, nous le faisons et nous leur envoyons la facture ».

Le problème des vélos et des trottinettes qui roulent sur les trottoirs a été abordé, Thierry Olympie précise que des actions vont être menées à cet effet.

En ce qui concerne la vitesse, des riverains de différentes rues demandent que soient installés des zones 30 ou des ralentisseurs mais dans certaines rues étroites bien souvent la vitesse est ressentie excessive alors qu’il n’en ait rien. « Nous installons régulièrement des radars pédagogiques qui enregistrent les flux ainsi que la vitesse et même les heures, les résultats sont transmis à la police qui effectue des contrôles ».

Sur le projet d’aménagement de l‘avenue d’Azereix, des riverains qui habitent des rues voisines se posent des questions sur une augmentation du passage de véhicules dans leurs rues mais aussi pour le stationnement.

Il a été également dénoncé le stationnement anarchique devant le lycée Jean Dupuy, double file et la vitesse excessive devant cet établissement.

Rue François Marquès aucun trottoir, aucune sécurité quand on sort de chez soi, le maire répond que les services travaillent sur ce problème.

La caserne Foix Lescun : un riverain demande où en est le projet ? « il n y a plus de projet, l’armée et l’Etat ont repris possession de leur bien, des travaux ont débuté et ce site ne sera plus à l’abandon », a répondu le maire.

L’hôpital a été bien sûr mis en avant, le futur aussi mais que va devenir l’actuel ? Le maire répond que pour le nouvel hôpital il y a des inquiétudes car le financement n’est pas bouclé. Et pour l’actuel la ville voulait se porter acquéreur mais son coût nous a fait fuir, L’Etat en demande 46M€ et pour sa démolition/dépollution cela coûte près de 15M€. Je ne vois pas qui investirait à ces prix-là.  ! »

Nicole Lafourcade