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Le forcing de Mado la Lourdaise

dimanche 23 octobre 2022 par Rédaction

Ce dernier vendredi, à l’issue de la session du conseil départemental, les représentants professionnels de la presse départementale (nous étions 3) ont été invités au déjeuner qu’allaient partager les élus départementaux et le personnel concerné par cette réunion. La correspondante du blog lourdais qui passe son temps à glorifier le maire de Lourdes, n’étant pas conviée aux agapes, puisque non professionnelle, a fait des pieds et des mains pour pouvoir s’asseoir à une table. Elle est allée voir Thierry Lavit pour qu’il vole à son secours. Ce qu’il a fait, obligé semble-t-il, à satisfaire les exigences de Madeleine Navarro, dite Mado, membre de ce que nous avons qualifié le « cartel médiatique lavitinesque », laquelle, si elle n’a pas le talent de Mado la Niçoise, se répandait à raconter que nous n’avions pas la carte professionnelle. Pour mettre les choses au clair, nous préciserons que notre carte professionnelle délivrée en 1986 (eh oui Mado ça remonte loin) par la Commission de la Carte d’Identité des Journalistes Professionnels porte le n°53188. Thierry Lavit devrait, lui, le savoir car à l’époque, journaliste à l’Eclair des Pyrénées, nous avions déjà l’occasion de nous croiser puisqu’il était encarté au Parti Radical de Gauche, dont il a été durant de longues années le président du Cercle radical lourdais avant d’être élu en 1989 conseiller municipal d’opposition de la municipalité Douste-Blazy.

Ceci dit, nous nous réjouissons bien évidemment que Mado La Lourdaise ait pu se rassasier. Grand bien lui fasse…Quant à son reportage sur la session du conseil départemental, à ce jour (dimanche 23 octobre 2022 16h), on n’a rien vu sous sa plume. On va finir par croire qu’elle était venue pour becqueter !

G.M.