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POPULATIONS LÉGALES 2019 Département des HAUTES-PYRÉNÉES (Communiqué INSEE du 29 décembre 2021)

jeudi 30 décembre 2021 par Rédaction

L’agglomération de Tarbes gagne des habitants

À retenir

. Au 1er janvier 2019, 229 567 personnes résident dans les Hautes-Pyrénées

. La population du département est quasi stable entre 2013 et 2019 comme entre 2008 et 2013

. Avec des arrivées plus nombreuses que les départs, le solde migratoire positif compense un déficit naturel résultant de naissances moins nombreuses que les décès

. La population augmente principalement à Tarbes et dans ses environs

Avec 229 567 habitants au 1er janvier 2019, le département des Hautes-Pyrénées est le

9e département d’Occitanie par sa population. Seuls le Gers, le Lot, l’Ariège et la Lozère sont moins peuplés. Au niveau national, c’est le 85e département de France, entre la Haute-Saône et la Haute-Loire.

En raison de sa géographie, la haute montagne occupant la moitié sud du département, la population se concentre au nord, notamment dans l’agglomération (unité urbaine) de Tarbes qui regroupe 79 021 habitants, soit un Haut-Pyrénéen sur trois. Les deux autres agglomérations les plus peuplées sont celles de Lourdes (16 848 habitants) et de Bagnères-de-Bigorre

(13 213 habitants).

La population augmente à Tarbes et alentour

La population du département est quasi stable entre 2013 et 2019 grâce à un excédent migratoire (+ 0,4 % par an) qui compense le déficit naturel. La population augmente principalement à Tarbes et dans sa périphérie. Elle progresse également le long des principaux axes routiers du sud-est du département entre Tarbes et Lourdes et entre Tarbes et Bagnères-de-Bigorre.

Parmi les trois agglomérations de plus 10 000 habitants que compte le département, seule celle de Tarbes gagne des habitants entre 2013 et 2019 (+ 0,6 % par an). L’augmentation de sa population résulte exclusivement de son attractivité, le solde naturel étant nul. À l’inverse, la population diminue dans les agglomérations de Lourdes et de Bagnères-de-Bigorre, de respectivement - 1,2 % et - 0,7 % par an. L’agglomération de Lourdes, comme la ville-centre, cumule des soldes naturel et migratoire négatifs tandis qu’à Bagnères-de-Bigorre, seul le déficit naturel entraîne la baisse de la population.

La baisse de population est moins prononcée dans les petites agglomérations de Lannemezan et d’Argelès-Gazost (respectivement - 0,2 % et - 0,4 % par an), grâce à des excédents migratoires qui compensent en partie les déficits naturels.


Une population qui reste stable

Entre 2013 et 2019, la population du département reste quasi stable comme entre 2008 et 2013. Le déficit naturel qui se creuse entre les deux périodes est compensé par un excédent migratoire qui augmente. Sur la même période, la croissance de la population ralentit en Occitanie comme en France.

L’agglomération de Tarbes, qui perdait des habitants entre 2008 et 2013 (- 0,5 % par an), en gagne désormais (+ 0,6 % par an). Ce nouveau dynamisme contrebalance le déclin démographique qui s’accélère dans les agglomérations de Lourdes (- 1,2 % par an entre 2013 et 2019 après - 0,7 % entre 2008 et 2013), et de Bagnères-de-Bigorre (- 0,7 % par an sur la période récente après - 0,5 % sur la précédente).

L’agglomération de Lannemezan perd désormais des habitants après en avoir gagné sur la période précédente. Dans celle d’Argelès-Gazost, le nombre d’habitants continue de baisser lentement, à un rythme presque équivalent à celui de la période précédente.

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30 décembre 2021
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