Site d’informations en ligne, sur Tarbes et le Grand Tarbes

  Informations Lourdes et Grand Tarbes  Informations Lourdes et Pays de Lourdes  Informations Bagnères de Bigorre  Informations Argelès-Gazost Vallées des Gaves  Informations Pays de Lannemezan  Information Pays du Val Adour  Informations Hautes-Pyrénées     
         

Baromètre Sport Santé FFEPGV / Ipsos – 10ème édition - Les bonnes résolutions 2021 impactées par la crise : la pratique de l’activité physique arrive largement en tête pour 34% des habitants d’Occitanie

lundi 28 décembre 2020 par Rédaction

Baromètre Sport Santé FFEPGV / Ipsos – 10ème édition

Les bonnes résolutions 2021 impactées par la crise : la pratique de l’activité physique arrive largement en tête pour 34% des habitants d’Occitanie


Montreuil, le 28 décembre – Pour la 10ème année consécutive, la Fédération Française d’Éducation Physique et de Gymnastique Volontaire (FFEPGV) publie en collaboration avec l’institut IPSOS son Baromètre Sport-Santé. Cette nouvelle vague d’enquête vient montrer à quel point la crise sanitaire a eu des conséquences sur les résolutions des Français pour 2021. En Occitanie, 34% des habitants ont prévu de pratiquer pour l’année prochaine une activité physique ou sportive régulière, c’est un record !

 

Avec la crise sanitaire, la résolution de pratiquer une activité physique plus importante en Occitanie !

 

Avec un contexte exceptionnel, les bonnes résolutions s’en trouvent en partie bousculées et les Français expriment le souhait de se concentrer sur certaines priorités. Sur le podium des bonnes résolutions 2021 des habitants d’Occitanie :

  • En 1er : Pratiquer une activité physique régulière : 34% 
  • En 2nd  : Passer plus de temps en famille, entre amis 32% (+9% vs 2019), une progression remarquable
  • En 3ème : Avoir un rythme de sommeil plus régulier 26% (+11% vs 2019)

 

 

Les femmes fortement impactées par le manque d’activité physique

 

Si elle tient la tête des bonnes résolutions encore plus fortement cette année, c’est que la pratique d’une activité physique a parfois été compliquée pour certains. 69% des habitants d’Occitanie (vs 67%, la moyenne des Français) considèrent que la crise sanitaire a rendu plus difficile la possibilité de pouvoir avoir une activité physique ou sportive.

 

Alors que les professionnels de santé et l’ensemble de l’écosystème sportif a tiré la sonnette d’alarme sur les conséquences d’un manque d’activité physique, les Occitans confirment à leur tour : 67% d’entre eux ont ressenti au moins un impact négatif sur leur bien-être physique, psychologique ou leur état de forme général parce qu’il leur était plus difficile d’avoir une activité physique. 

 

En Occitanie, ce sont les femmes qui sont les plus pénalisées à tous les niveaux

  • Sur le bien-être psychologique : 51% d’entre elles impactées (vs 59% au national)
  • Sur les relations sociales : 47% d’entre elles le ressentent (vs 44% au national)
  • Sur l’état de forme en général : 49% déclarent un impact négatif (vs 57% au national)

En revanche sur le bien-être physique, les hommes se déclarent être les plus impactés à 50%

 

Les Occitans très attachés au sport "quoi qu’il en coûte" 

 

L’impact de la crise sanitaire, les confinements successifs et les règles de distanciation sociale auront tout de même eu un impact positif : la proportion des Occitans faisant du sport a considérablement augmenté mais sur des durées plus courtes

  • 82% des habitants de la région pratiquent une activité sportive (vs 68% par rapport à décembre 2019)
  • Une pratique sur une durée moyenne de 3,2h par semaine (vs 3,5h en décembre 2019).

 

Enfin dans l’optique d’une reprise possible des activités sportives en janvier 2021, comme annoncée par le Gouvernement, 73% des habitants d’Occitanie ont l’intention de reprendre le sport.

« La crise sanitaire a mis à l’arrêt de nombreuses pratiques sportives et plus durement pénalisé les fédérations non compétitives comme la FFEPGV. Pour autant, les chiffres de notre Baromètre Sport Santé confortent nos convictions : les Français placent la pratique sportive comme une priorité essentielle dans leur vie et son rôle de lien social se retrouve particulièrement dans nos clubs EPGV. Ces chiffres reflètent que la crise a complètement modifié la place du sport et que nous devons en tenir compte dans, ce que certains appelleront, « le monde d’après ». La pratique sportive de demain doit se renouveler et évoluer pour répondre à ce qu’expriment les Français à travers notre baromètre Sport Santé. » explique Patricia Morel, Présidente de la FFEPGV.

 

*Enquête réalisée par l’institut IPSOS pour la FFEPGV auprès de 2 004 personnes de 16 ans et plus, du 10 au 15 Décembre 2020.