Les responsables PS et PRG font le point sur la campagne électorale

Hier matin, Claude Gaits, président départemental du PRG et Alain Piaser premier secrétaire fédéral du PS, ont tenu un point presse afin de faire le point sur la campagne des élections municipales.

Pour Claude Gaits, « La campagne se porte bien. Nous avons constaté un signe symbolique sur le terrain. Les accords que nous avons se passent de la meilleure des façons avec nos listes communes. Les 23 et 30 mars, nous connaîtrons des succès certains. Nous appelons à la mobilisation et à la participation massive. »

Alain Piaser ajoute : «  Je suis ravi que le lancement de la campagne à Tarbes se soit bien passée sur le terrain. L’accueil est bon, et il y a une forte volonté de participation. »

« Tarbes et Lourdes sont les deux principales villes du département. Sur Lourdes, Josette Bourdeu est parvenue à mobiliser autour d’elle et faire valoir la nécessité d’un vrai changement. Sur Tarbes, on est obligé de mettre le doigt sur ce qui marque la ville, le déclin visible : les friches commerciales avenue de la Marne, rue Georges Lassalle, avenue Alsace Lorraine, rue Massey, rue Foch. Ce déclin s’illustre par les statistiques de l’INSEE .Il est nécessaire que cela change ! » commente Claude Gaits.

« Le maire et son équipe sont centrés sur eux mêmes, ça ne peux plus marcher comme ça .Si on fait la liste de ce qui a été fait par Gérard Trémège il n’y a pas grand-chose, il a toujours refusé de s’associer avec la région. Sur le site du Giat, une clôture a été mise et rien n’avance ! Il y a urgence à faire des partenariats. Tout seul on ne s’en sortira pas ! Je souligne l’engagement de Michèle Pham dans cette campagne. Il faut une nouvelle respiration avec des personnes qui n’ont jamais être impliquées, qui arrivent avec un œil neuf, c’est cela que Tarbes a besoin. » note Alain Piaser 

Claude Gaits conclut : « Rien ne peut se faire en restant dans son petit coin. On parle embellissement de la ville, mais quel maire ne contribue pas à l’embellissement de sa ville, il faut que la commune s’implique économiquement. »  

Nicole Lafourcade